photographie

Marcello

Le levain est à la boulangerie ce que l’argentique est à la photographie. C’est de moi,et c’est bien vrai.

Ceux /celles qui boulangent et tirent en amateurs comprendront cette affirmation, et je ne parle que d’amateurs car je vois mal comment un artisan boulanger professionel pourrait avoir le temps et l’envie de s’enfermer dans une chambre noire quand il a du temps libre. Moi je suis amateur ( amatrice ?) en boulangerie et photographie et je peux faire les deux,encore que le pain,ces derniers temps qui durent depuis trois mois , m’occupe plus que la photo.

Pour l’instant,j’ ai deux levains : Lila,  de farine blanche et Marcello, de seigle.Un troisième,voire plus, viendra agrandir la famille. Il est d’usage de donner un nom à son levain,car on le fait naître, c’est vivant,il faut en prendre soin, le nourrir, c’est plus exigent qu’une plante mais s’il est bien traité,il peut durer cent ans et plus… Aussi dans mon testament je les lèguerai, à qui, sais pas encore .

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